lundi 1 août 2011

Moins qu’un mois

Dans quelques semaines, c’est déjà fini. Je reste encore ici, à Lyon, jusqu’au le 29 août, et après, je pars pour quelques jours à Paris avec mon amoureux. J’ai beaucoup d’envie à lui revoir, il me manque trop.

Le travail est encore un peu dur, mais ça va, probablement parce qu’en ce moment, j’ai quatre jours dont je suis libre. Nous avons été au piscine du Rhône, et c’était formidable. Beaucoup de soleil, en fait un peu trop selon ma peau, mais nous avons bien ris.
Les soirs, on boit du vin ou de la bière à Vieux Lyon, en parlant de travail, des amours et qu’est-ce qu’on va faire en retournant aux Pays-Bas. On a aussi rencontrés quelques Français de Besançon qui reste aussi au campus, mais ils font trop de bruit et ils sont un peu…opdringerig.
C’est difficile de me concentrer, et il n’y a si beaucoup de temps hors le travail pour faire des autre choses intellectuels, donc je le trouve un peu dur de faire les assignements. Je pense que c’est un peu difficile de refléter à ces choses nouvelles, j’ai toujours besoin de plus de heures dans mes jours.

Un autre chose difficile, c’est le rythme du jours. Comme on a des shifts si différents (p.e. 15.30 au 23h et deux jours après, 7 au 15h) c’est dur de trouver un rythme constant. J’ai trouvé que les shifts plus tard sont plus facile pour moi, ils me plaisent bien. Quand on commence, il y a beaucoup de choses à faire, mais après quelques heures, ça diminue et on rentre pas si stressée.

Ça me surpris encore, que dans quelques semaines, j’ai trouvé un mode de vie si différent qu’aux Pays-Bas, mais au même instant, si agréable. Presque chaque matin, je me lève, je fais mes exercices de yoga et je pars pour le bus. Je mange un petit chose dans le bus, au bureau je bois mon café et je commence à travailler. Dans mon pauze je vas au supermarché pour acheter un sandwich, ou je réchauffe mon déjeuner que j’ai déjà préparé la vieille. Après le travail, je rentre et je fais rendez-vous avec quelques collègues. Quand on a des temps libre, on va au musée, au parc ou à la piscine. À Lyon, reste encore beaucoup de choses à découvrir, donc je ne pense que j’aura besoin d’aller au Marseille, Montpellier ou Avignon, comme beaucoup de mes collègues. Je me sens bien ici, c’est vraiment devenu ma maison. Il me semble que je ne suis seulement pas ici, j’y habite.

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